Soin Energétique de guérison
J’ai pu mettre en évidence les liens que pouvaient avoir les douleurs face à nos pensées, nos blessures, nos émotions.
A l’idée même de penser à un événement douloureux le corps de façon automatique va reproduire par les symptômes physiques la situation. Pour s'en libérer, il sera nécessaire d'identifier nos réactions corporelles (palpitations, sueurs, stress, crispations....) La libération passe par les mots, les prises de conscience et également par la libération énergétique. Les mémoires émotionnelles ainsi libérées, les symptômes physiques reconnus, la guérison va pouvoir se faire.
Pourquoi par exemple avec certaines personnes ressentons-nous un certain malaise ?
Nous n’arrivons pas à regarder la personne dans les yeux.
Nous ignorons très souvent la réponse et parfois le mécanisme se réalise inconsciemment. Doit-on réaliser une thérapie pour en découvrir le sens ?
Pendant de longues années en milieu médical, j’ai observé la souffrance dans le regard des personnes et ressenti instinctivement le besoin de rassurer avec les mains et le regard.
L'énergie qui circule dans la présence et le toucher a un fort pouvoir libérateur, nous sommes tous en capacité de le manifester et le ressentir lorsque nous y sommes ouverts.
Pour ma part, j’observe combien l'énergie se fait ressentir en séance, sans prétention de me donner une quelconque étiquette ni rôle, je ressens de manière instinctive le besoin de toucher les zones de souffrances afin de les soulager et les libérer.
Je me laisse porter dans ce qui se présente selon les besoins ressentis dans l’instant. Parfois il ne se passe rien de manière énergétique car le temps est à la libération des mots et à l’écoute.
J’ai appris à ne plus vouloir faire ou même agir selon une méthode précise parce qu’elle enferme les personnes dans des cases. L’idée est ici est bien d’en sortir, l'accompagnement se réalise au plus juste dans le besoin de la personne dans l'ici et maintenant.


“ Nous sommes le résultat d’un très grand nombre d’actes libres dont nous sommes les seuls responsables”.
Mathieu Ricard